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Chez Borizio
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Top 15 des plus grands personnages des romans de Victor Hugo

Boris Ngondy-Oss, juin 11, 2025juin 16, 2025

Bon. Il était enfin temps que je dédie au Père Victor son propre papier. L’Homme Océan, Hugo Boss, le Patriarche des lettres françaises, les appellations paroxystiques ne manquent pas pour qualifier ce géant. Il faut dire qu’elles ne sont pas volées, tant le bougre aura marqué de son fer romantique l’histoire de la littérature et de la France.

Hugo, c’est le romantisme porté à son ton le plus vorace, le plus virtuose, le plus lyrique, le plus sensible, le plus épique. Le plus puissant.

Le plus énervant aussi. Les digressions s’écoulant sur des centaines de pages, l’esthétisation à outrance, la romantisation de la misère et autres esbroufes qui le caractérisent lui valant d’être impitoyablement critiqué par ses détracteurs, ceux d’hier et d’aujourd’hui.

Hugo agace, Hugo éblouit, Hugo fascine, Hugo dégoûte, mais dans tous les cas Hugo règne. Son œuvre colossale, témoignant d’un génie polyvalent, d’une totale maîtrise des grandes disciplines littéraires, (théâtre, poésie, roman) continue de choquer et d’émerveiller les lecteurs du monde entier.

Nous nous attarderons ici sur son œuvre romanesque à laquelle il s’est évertué à donner tant de vertus : Livre historique, pensum philosophique, étude sociologique, pamphlet, épopée, tragédie, poème épique, les romans d’Hugo sont des œuvres sommes desquelles découlent un puissant imaginaire, peuplé de personnages inoubliables dont certains relèvent de l’emblème culturel national et même mondial. Ainsi je vous propose, pour le plaisir, un florilège en forme de classement des plus grandes figures qui composent le panthéon romanesque Hugolien :

15. Bienvenu Myriel (Les Misérables)

C’est avec lui que commencent Les Misérables. Il est l’origine du mythe. L’évêque de Digne. La seule personne daignant de recueillir Jean Valjean que le statut d’ex bagnard rend pestiféré aux yeux de toute la populace. Myriel lui offre gîte et couvert. Et la route du chemin vers la lumière.

L’évêque incarne l’homme de Dieu dans ce qu’il a de plus noble et d’idéal. C’est le pardon et la charité chrétiennes érigés en préceptes suprêmes. C’est la force de croire en l’humain, de tendre la main à son frère, de voir le bien qui se cache en lui au delà du vice et du désespoir et d’actionner ce levier de l’âme du brigand qui peut la rendre la lumineuse.

C’est ainsi donc que Valjean, suivant la route montrée par le doigt de l’évêque, commencera sa marche vers la lumière, remis sur ce droit chemin par Dieu.

14. Claude Gueux (Claude Gueux)

Chez Hugo, avant Jean Valjean, il y eut Claude Gueux. Héros du roman éponyme. Claude Gueux était un pauvre. Il a volé du pain pour nourrir les siens. Il a été jeté en prison. En prison Claude Gueux était un détenu exemplaire. Bon, généreux, adoré par ses compagnons. Mais un gardien le haïssait. Ce gardien le provoquait sans cesse. Toujours plus soucieux de lui nuire, il a décidé de séparer Claude Gueux de son plus précieux compagnon, Albin. Claude Gueux en fut abattu. Il a demandé le retour d’Albin. Le gardien a refusé. Claude Gueux a supplié. Le gardien n’a rien voulu savoir. Alors désespéré, ivre de douleur, Claude Gueux a tué le gardien. A coups de hache. Plusieurs. Administrés de toutes ses forces. Puis Claude a été condamné à mort. Et Claude Gueux a été guillotiné.

Claude Gueux a réellement existé. Hugo s’est inspiré de cette histoire vraie pour en tirer ce roman qui dans la foulée du Dernier Jour d’un condamnné, préfigure le combat idéologique que l’écrivain livrera toute sa vie durant contre la peine de mort, cette solution punitive barbare dont les pauvres sont les plus souvent les victimes.

« Cette tête de l’homme du peuple, cultivez-la, défrichez-la, arrosez-la, fécondez-la, éclairez-la, moralisez-la, utilisez-la ; vous n’aurez pas besoin de la couper. »

13. Esmeralda (Notre Dame de Paris)

Le lumineux objet du désir. L’angélique bohémienne. La perle de la cour des miracles.

Quasimodo, Gringoire, Frollo… Tous les mâles de Notre Dame de Paris succombent à la chaleur de son charme, avec cela dit des symptômes différents : Ceux dont souffrira Frollo seront les plus violents, tels de cruels témoins de la puissance dévastatrice de l’emprise de la Femme sur l’Homme, et de l’infernale obsession qu’elle lui cause.

Mais c’est au « fuckboy » Phoebus de Chateaupers que le cœur de cette « baddie » du moyen âge appartient. Le seul qui parmi tous ses prétendants, n’a que faire d’elle et est juste soucieux de la punaiser à son tableau de chasse.

La « baddie » qui en pince pour le « fuckboy » émotionnellement indisponible (et marié !) voilà un schéma qui nous est bien familier, et qui fait ironiquement d’Esmeralda une héroïne toujours très moderne.

Mais La Esmeralda n’est pas juste est un bel écrin. Au delà de l’immense beauté qui la caractérise, faite notamment de cette soyeuse chevelure dans laquelle on aimerait glisser les doigts, on trouve une âme généreuse, brisée, hantée par un passé flou. Qui est-elle vraiment… ?

12. Marius (Les Misérables)

Le double de papier de Victor Hugo. Ce sont ses propres traits que l’écrivain a donné à ce personnage qui dans toute son œuvre est celui qui incarne le plus l’archétype du héros romantique : Jeune, beau, brun, éperdument amoureux de Cosette, aux idéaux profondément républicains et en opposition farouche à son royaliste de grand-père, dont la relation tumultueuse constitue un des sommets de l’histoire des Misérables. On retrouve Hugo dans l’allure du personnage, mais aussi dans sa vie : Comme Marius, Hugo a eu un père soldat de l’empire qu’il a peu connu et admiré de loin. Comme Marius aime profondément Cosette, Hugo a profondément aimé Juliette Drouet.

11. Gwynplaine (L’Homme Qui Rit)

L’Homme qui rit, c’est lui. Gwynplaine est cette figure du prince déchu, shakespearienne en diable, affublée de cette horrible balafre qui lui trace au visage un sourire permanent, le figeant dans une expression cauchemardesque. Comme Quasimodo, il est un homme au faciès de monstre mais qui renferme une âme dorée, rejeté pour son apparence en forme de malédiction mais hypocritement adoré dès lors qu’il joue son rôle de « freak » dans les foires.

Le destin le rattrape et l’enjoint à mener une quête pour l’égalité, porté par cette si hugolienne soif de la justice, si grande et presque naïve. Mais ses congénères sauront-ils passer outre sa gueule d’horreur et considérer la noblesse de sa démarche ? Rien n’est moins sûr…

C’est ce personnage qui servira d’inspiration pour le design du Joker, célèbre ennemi de Batman devenu un des plus iconiques personnages de la pop culture.

10. Gauvain (Quatrevingt-treize)

Le jeune premier de Quatrevingt-treize. Un commandant républicain mandaté par la Convention pour vaincre la Vendée royaliste et qui dans cette tâche, devra s’heurter à propre grand oncle, le terrible marquis de Lantenac.

A travers Gauvain, Hugo nous présente son idéal du révolutionnaire : Un héros républicain courageux, farouche mais exempt de haine et de barbarie, soucieux d’étendre la révolution certes, de porter les valeurs de la république, absolument, mais pas à n’importe quel prix. Il s’agit de respecter l’ennemi comme son frère, de le convaincre plutôt que de le soumettre, de le pardonner plutôt que de le punir. La guerre ne justifie pas l’horreur. Jamais.

En 93, Les Dieux avaient soif comme l’a dit Anatole France. Et Gauvain de leur répondre : « Ce n’est pas moi qui vous donnerai à boire ! »

9. Gilliatt (Les Travailleurs de la Mer)

Le travailleur de la mer. C’est exilé sur l’île de Guernesey qu’Hugo a imaginé ce héros, illustrateur de la profonde admiration qu’il vouait aux peuples de la mer ; Il nous raconte ainsi avec Gilliatt l’histoire d’un jeune pêcheur solitaire qui s’engage dans l’extrêmement périlleux sauvetage de la Durande, un grand bateau échoué en mer dont le commerce et donc le bien être des gens de la petite bourgade d’où il provient dépendent fortement. Une véritable odyssée s’amorce alors pour Gilliatt, qui promet de prendre les airs d’un chemin de croix : Faim, soif, froid, douleur, solitude et ainsi que les 1001 dangers que peut offrir une mer, calme ou déchainée, sont au programme.

Gilliatt est ainsi la figure héroïque d’un conte marin et mythologique. Il est un héros homérique. Un Ulysse hugolien. Mais il est aussi un romantique. Car c’est parce que la main de Déruchette, la femme qu’il aime, est promise à celui qui réparera la Durande que Gilliatt accepte cette mission dangereuse. L’amour comme moteur des hommes. Toujours.

8. Fantine (Les Misérables)

Le symbole absolu de la mère courage prête à tout pour ses enfants. Un autre archétype présent en filigrane dans l’œuvre d’Hugo. On pense aussi à Michelle Fléchard dans Quatre-vingt treize ou la sœur Gudule de Notre Dame de Paris. La récurrence de la présence de cette illustre figure chez Victor s’explique par le fait probable que l’auteur lui même, fils d’un général de l’Empire très souvent absent, ait été majoritairement élevé par sa ma mère seule, à qui il doit son goût pour les lettres et la culture.

Hugo nous montre avec l’histoire de Fantine dans Les Misérables qu’en temps de guerre ou dans ce cas précis de misère, les femmes sont les premières victimes. Fantine, étant lâchement abandonnée par son homme, est de ce fait condamnée avec sa petite fille Cosette à une vie de misère. Elle sacrifiera tout, corps, âme, esprit pour le bien de son enfant, victime dans cette démarche de la fourberie démoniaque des Thénardier. Jusqu’à ce que Jean Valjean lui fasse la plus belle des justices.

7. Lantenac (Quatrevingt-treize)

Surnommé « le paysan », il arrive dans l’intrigue de Quatre-vingt treize nappé de mystère, tel un personnage de western Leonien, en taiseux « old timer » venu accomplir une mystérieuse mission. Et lorsqu’il rompt pour la première fois le silence, c’est pour se faire l’auteur d’un des plus puissants monologues de toute l’œuvre hugolienne. Le décor est alors formidablement planté :

Lantenac est un incorruptible guerrier du roi à la majesté de fer, un soldat du christ en mission divine, un enfant de la Vendée, tout entier dévoué à sa terre mère et prêt à envoyer droit aux enfers cette chienne de république. Comme tous les personnages de 93, sa détermination est absolue, totale. Et comme tous les personnages d’Hugo à la fois terribles et formidables, derrière l’ombre se cache peut être un peu de lumière.

6. Javert (Les Misérables)

Le grand antagoniste des Misérables, avec Thénardier. Mais contrairement à cette dernière crapule, Javert est majestueux. Javert est formidable. Hugo lui-même lui porte un regard admirateur et dès les premières lignes où il le décrit, il amène le lecteur à déceler l’humanité présente dans cet esprit d’acier. Le chapeau haut de forme, l’imper cuir noir, les favoris, la matraque, autant d’éléments composant l’imagerie de ce personnage inoubliable, représentant intransigeant de la Loi qui est pour lui comme une mère, suprême, pour ne pas dire divine et qui le fait impitoyablement pourchasser Jean Valjean avec qui il livre la partie de flic et de voleur la plus épique de la littérature française.

5. Quasimodo (Notre Dame de Paris)

Certainement le plus célèbre des personnages d’Hugo. Le fameux Bossu de Notre Dame, le sonneur de ses cloches. De tous les amours vouées à la Esmeralda, celui de Quasimodo est le plus pur et le plus sain et sa dévotion pour la bohémienne s’exprimera pour l’éternité.

A travers ce personnage se constate la grande considération qu’avait Hugo pour les saltimbanques, (également observée avec Gwynplaine) et tous ces hommes artistes aux physiques monstres, que la société ne considère que dans le méprisant rôle de bête de foire. Mais pourtant Dieu sait si, derrière l’infâme laideur de ces corps ne se cache pas en contrepartie une grande beauté d’âme.

Le personnage de Quasimodo est évidemment indissociable du monument qu’il habite : Notre Dame de Paris. La cathédrale est sa reine, sa mère, sa moitié. Outre La Esmeralda, c’est à cette vieille dame, qu’il connaît dans ses moindres recoins, que son cœur appartient.

4. Ursus (L’Homme Qui Rit)

Ursus est le représentant ultime de cette figure paternelle typique de l’œuvre hugolienne, celle du mentor érudit prenant sous son aile de jeunes orphelins (Valjean avec Cosette dans Les Misérables, Frollo avec Quasimodo dans Notre Dame de Paris, Mess Lethiery avec Gilliatt dans Les Travailleurs de la Mer, Cimourdain avec Gauvain dans Quatre-vingt treize…)

Ursus et le plus fantasque et le plus génial d’entre tous. Il est un peu à l’image du roman L’Homme Qui Rit qui le contient : Complétement fou et génial, érudit à l’extrême, désenchanté mais au fond de lui rempli de lumière et d’espoir. Et surtout sous côté.

C’est un homme du peuple, un saltimbanque misanthrope, véritable encyclopédie vivante baroudant reclus dans une misérable mais fière roulotte et ayant pour seul compagnon un loup nommé Homo. Il recueillera lors d’une violente nuit d’hiver Gwynplaine et la petite Déa et mènera avec eux la plus folle des aventures hugoliennes, les faisant notamment héros de sa pièce de théâtre Chaos Vaincu, chef d’œuvre dans le chef d’œuvre et trouvant en ces deux jeunes âmes errantes le salut de son existence.

3. Gavroche (Les Misérables)

L’enfant feu follet. Le gamin fée. Le titi parisien. Il est sans conteste le plus « cool » des personnages hugoliens. Tout est cool chez ce môme, de son parler argotique jusqu’à sa piaule de fortune, qu’il a élue dans l’éléphant de la Bastille. Daron à 11 ans, fils de Thénardier, petit philosophe averti, grand batteur des pavés, acolyte de gangster, inspiré par Delacroix, le petit Gavroche à son jeune âge a déjà une vie d’ancien. Il la conclura en martyr d’une révolution avortée, tombant tel le symbole d’une jeunesse laissée pour compte, maudite, miséreuse, mais tellement brillante, bienveillante, innocente et au final fatalement sacrifiée.

Il est avec évidemment celui de Saint Ex, l’autre grand petit prince de la littérature française.

2. Jean Valjean (Les Misérables)

Faut-il encore le présenter ? Ce personnage pourrait presque être canonisé tellement son mythe dépasse la fiction… Saint Jean Valjean ? Cela sonne plutôt bien.

Les Misérables nous racontent 30 années de la vie de cet homme, de sa sortie du bagne en paria de la société, encore sans scrupules, à son statut quasi christique d’homme providentiel, transfiguré par l’évêque Myriel et marchant désormais vers la rédemption, répandant le bien et l’honneur sur son chemin.

Un personnage devenu symbole du patrimoine, à l’instar d’un D’Artagnan ou d’un Cyrano, auquel les plus grands acteurs du cinéma français ont prêté leurs traits : Jean Gabin, Lino Ventura, Gérard Depardieu, Jean Paul Belmondo…

La figure de Jean Valjean est universelle. Il est le visage de la philosophie hugolienne, portée ici à son pinacle. Ne punissez pas outre mesure le misérable, constatez déjà ce qu’il l’amène à agir ainsi. Il n’est que le strict produit de notre société. Elle le fabrique et puis elle le condamne. Pardonnez lui, éduquez le, montrez lui la voie du Christ, ouvrez lui votre cœur et voyez le sien s’ouvrir en retour.

1. Claude Frollo (Notre Dame de Paris)

Voilà donc celui que je place en tête du classement. Claude Frollo. Mon frère de papier. L’archidiacre de Notre Dame de Paris. Je pense qu’il est le personnage le plus marquant de l’œuvre hugolienne et un des plus marquants de la littérature de XIXe siècle.

Chez Hugo, nous savons que le conflit intérieur est un motif récurrent. Nombre de ses personnages se retrouvent infernalement tiraillés lorsque leurs convictions inamovibles se heurtent à des circonstances malencontreuses et vacillent ainsi durablement.

Pour Frollo, il s’est agi du dilemme de l’Homme d’église face à l’amour. Du chaste face à la tentation de la chair. Sa rencontre avec la Esmeralda est la cause de ce bouleversement.

La plongée que nous propose alors Hugo dans l’âme de cet homme est vertigineuse : Dévoré d’amour, dévoré de haine, le conflit intérieur qui ronge son âme est dévastateur et de sa main s’actionnera la terrible réaction en chaîne des évènements tous plus incroyables les uns que les autres qui ponctuent l’intrigue de Notre Dame de Paris.

Enfant du Christ en guerre contre la Tentation, en proie à un amour infernal, foudroyant mais non réciproque, Frollo est un personnage mythique dans lequel chacun est amené à se voir malgré lui. Il est cette partie noire de notre âme pouvant prendre vie et contrôle lorsqu’elle se retrouve violemment éclairée par la terrible lumière du mal d’amour.

Ce mal d’amour est le nôtre à tous. Nous sommes tous Claude Frollo.

© BORIS NGONDY-OSS

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